Le plus simple pour commencer à faire du bikepacking, c’est d’utiliser le vélo que vous possédez déjà. Commencez par une aventure d’une journée ou deux, attachez quelques sacoches et équipements à votre vélo et lancez-vous.
C’est ça, l’esprit du bikepacking. Reste que c’est plus facile à dire qu’à faire.
Le plus simple pour commencer à faire du bikepacking, c’est d’utiliser le vélo que vous possédez déjà. Commencez par une aventure d’une journée ou deux, attachez quelques sacoches et équipements à votre vélo et lancez-vous.
C’est ça, l’esprit du bikepacking. Reste que c’est plus facile à dire qu’à faire.
Ces aventures sont d’autant plus agréables si vous avez le bon équipement, le bon vélo et un plan bien ficelé.
Pourquoi ne pas commencer par un voyage en prêt-à-camper ou avec une nuit au motel, histoire de bien vous roder?
La machine d’aventure de Devinci, c’est le Hatchet G-Spec. En aluminium ou en carbone, il possède plusieurs points d’ancrage sur le cadre pour que vous puissiez ajouter porte-bouteilles, sacs et autres accessoires conçus pour le bikepacking.
Grâce à sa géométrie inspirée du MTB, le Hatchet G-Spec est le vélo amusant et confortable qu’il vous faut pour attaquer les routes et sentiers les plus inspirants et les aventures les plus envoûtantes. En outre, son cadre est aussi compatible avec une tige de selle rétractable.
Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi installer un porte-bagages à l’arrière et des garde-boue à l’avant et à l’arrière. Et vous pouvez exagérer sur la taille des pneus : le Hatchet peut accueillir des pneus de 45 mm, voire de 50 mm dans certains cas.
Si vous souhaitez du plus costaud, vous pouvez aussi choisir l’un de nos vélos de montagne, comme notre ami Dominique Ménard l’a fait avec son Troy. Avec l’utilisation de sacs de selle, d’un sac de guidon et l’ajout d’adaptateurs à la fourche pour transporter plus de matériel ou de l’eau, tout est possible.
Notre vélo hardtail de trail, le Kobain, est aussi un choix judicieux pour l’aventure en arrière-pays grâce à sa fourche à suspension. Son cadre en aluminium sans suspension fabriqué au Canada est aussi un atout majeur qui permet d’ajouter un maximum de matériel sur le cadre sans compromettre le mouvement du triangle arrière.
Le nécessaire en bikepacking variera en fonction de la durée et du lieu de l’aventure. La disponibilité de la nourriture et de l’eau sur votre trajet sera aussi un élément majeur.
En effet si vous partez dans le désert, vous devrez prévoir une bonne quantité d’eau pour ne pas vous déshydrater.
Idéalement, il faut prévoir de 500 ml à 1000 ml par heure. N’hésitez pas à sortir la calculatrice pour connaître la quantité d’eau que vous devez avoir avec vous entre les points d’eau!
Dans le doute, n’oubliez jamais votre filtre à eau!
Si vous partez dans les coins reculés des parcs nationaux et autres réserves naturelles du Canada et des États-Unis, vous devrez aussi prévoir la bonne quantité de nourriture.
Si vous voyagez plutôt dans des zones plus habitées, ça vaut le coup de prévoir ses arrêts et de vérifier les heures d’ouverture...!
Évidemment, vous aurez besoin d’une tente, d’un bivouac ou d’un hamac, d’un sac de couchage, d’un matelas de sol et de tout l’équipement nécessaire pour votre campement.
Vu l’espace limité, mieux vaut utiliser le matériel le plus léger et le plus compact possible.
ET
OU
OU
Pour régler les problèmes potentiels durant votre aventure, il convient d’avoir tout le matériel nécessaire pour une réparation. Par réparation, on entend tout autant une crevaison, la lacération d’un pneu ou un problème mécanique majeur, que les vêtements ou encore le matériel de camping. Pour ce faire, il faut quelques outils.
Enfin, il est aussi important d’avoir avec soi une trousse de premiers soins et le minimum pour pouvoir maintenir son hygiène personnelle et rester le plus confortable possible.
Et finalement, les incontournables :
N'oubliez pas portefeuille, cartes et argent comptant.
Comme vous voyez, ça fait beaucoup de matériel. D’où l’importance d’organiser le tout dans son sac de la manière la plus logique et la plus efficace qui soit.
Autant que possible, il faut mettre le matériel qu’on utilise le moins au fond des sacs les moins accessibles (sac de selle, sac de cadre). Pour les grignotines, c’est une bonne idée de les mettre dans le sac du tube horizontal, mais aussi dans un petit sac sur le guidon ou encore dans un sac de transport sur le guidon ou sur un sac avant.
Pour l’emballage, à chacun sa méthode. En règle générale, on souhaite mettre le matériel le plus lourd, le plus bas sur le vélo pour réduire au maximum le centre de gravité de sa monture et en simplifier la maîtrise.
Les options sont nombreuses pour le campement en bikepacking comme en tourisme. Le plus simple est de réserver un espace de campement. Encore une fois, la préparation est clé.
Autrement, on peut parfois camper de façon sauvage dans certaines zones plus reculées en arrière-pays en s’enregistrant auprès des autorités des parcs nationaux.
Au Canada, on retrouve aussi les terres du domaine public, mais mieux vaut vérifier la réglementation locale avant de s’y aventurer.
Aux États-Unis, il est aussi fréquent de pouvoir camper un peu partout sur les terres du Bureau of Land Management. Ces territoires sont assez nombreux, notamment dans le Sud-Ouest.
Impossible de passer sous silence des outils comme Ride with GPS, Komoot ou Google Maps. Reste que le site www.bikepacking.com est un incontournable. C’est la meilleure ressource pour trouver les routes et des informations sur le bikepacking. Pour les trajets au Canada, on consultera www.bikepack.ca.
Notre ambassadeur, Dominick Ménard, vous propose quelques itinéraires au Canada et aux États-Unis.
Parfait pour un premier test!
Pour se donner un peu de fil à retordre.
Pour sortir de sa zone de confort. À fond.